Les Présidentielles…. où on en est?
Eclairons le lecteur ou la lectrice… il y a plusieurs
mois, un fichu d’auteur, illustre inconnu… tiens, c’est
un peu con… illustre et inconnu… a eu l’intuition
que s’il apprenait à écrire, il pourrait s’amuser un
peu et en emmerder plusieurs… beaucoup!
L’heure du Bi-lan… il paraît que dans la Banque,
on n’en veut plus du Bi-lan… du Dépôt de Bil-an.
La Redition de contes… contines… continence…
Incontinence et Incontournable.
Faut-il toujours se justifier devant l’audi-anse
quand le bateau coule? Si ce n’est pour l’autre,
faisons le pour les autres.
——
L’auteur: Non! Non! Cà ce n’est pas dans le con-trat.
Je m’y refuse… systématiquement… d’une manière
systémique…
Merle Moqueur: Pss.!!! Pss! Pss! Tu sais
la Maison d’Edition, l’Edit-heure INSISTE!
L’auteur: Non! Non! Tu ne vas pas t’y mettre toi-
aussi! Quand même… j’ai de l’OR-gueil moi.
Merle Moqueur: Ah! T’as recu l’Oseille, ton dernier
chèque… l’Or-dur. Ce n’est pas pour te ridiculiser
mais simplement pour, comment dire… Ben! Tu vois,
Petit Basset et Moi, avons pas envie de finir aux
oubliettes comme de vieilles poupées remplies
d’aiguilles, parce que, toi, dans ce cas-là tu finira
bien loin de notre mangeoire… à l’ombre pour
longtemps… il paraît qu’on aime pas toujours çà!
Merle Moqueur: Tiens par exemple… Petit Basset
me disait comme cà… l’autre matin… cela m’ennuie
un peu, mon petit merle, qu’on ne se retrouve pas
plus souvent comme avant… pour jaser… pour
la course au bout de la laisse, toi du bout de
l’aile, le vol d’un trait d’aile… avec le tiret
de l’auteur… Cela ne te manque pas… Et puis,
aujourd’hui… les muses sont dopées, alors il
faut bien qu’on leur botte le derrière…
Merle Moqueur: Oui c’est cà… l’auteur… la
Grande Nostalgie… le Grand Coup de Gueule…
Cela me manque moi de dire des Choses…
de dire les Choses…
L’auteur: …Me semblait aussi! Que les graines…
on ne vit pas que de graines et d’autres choses!
L’auteur: T’as gagné… bon… je te laisse quelques
lignes…(stériles).
Merle Moqueur: Hey! T’es prêt… Petit Basset? On
va commencer bientôt? Le Clip, le Clap! T’as mis
tes lunettes de soleil… couché devant la niche,
ou nietzche…
Petit Basset: Un branlement de queue… pour acquiescer!
Comme le Métro-Nome… L’assurance du Pro! de la
Vedette… Ouais! Woof! Woof! Woof!
Merle Moqueur: J’ai compris… Ecoute… on va
refaire le film à l’envers… pour remettre le monde
à l’endroit…
Petit Basset… se couchant sur le dos, les quatres
pattes en l’air… un Ouuuuuuuuuuuu!
Merle Moqueur: Petit Basset… sois sérieux…
sérial… killer. Tu sais la 1ère Présidentielle.
Tu vois, moi, je crois qu’on devrait la recommencer.
C’est du gâchis. De la pâté de merdre pour les
loosers… Et ils en redemandent…
Petit Basset… revenu sur ses quatre pattes et
écoutant, songeur d’une nuit d’été, regardant
Merle Moqueur… ses lunettes fumées par terre…
pendant que la fumée enveloppe la République.
Petit Basset: T’as peut-être raison un peu à
cette saison… une petite raison de rien du tout…
Merle Moqueur… si tu penses comme moi, tu dois
te demander ce qui serait arriver… si…
Merle Moqueur: Tu m’as compris! Oui! en relisant
les textes… le testament de l’auteur, l’ancien,
T’aurais jamais du lâcher le mollet, le bord du
pantalon…
Petit Basset: Tu vois, c’est à cela que je faisais
référence… depuis… la Révérence est devenue
Obligatoire quand les Obligations voltigent comme
feuilles mortes en automne. J’aurais du y mettre
du coeur au ventre… parce que là cela ne fait
pas dans le bon exemple… Ce n’est pas la griffe
mais l’empreinte de la mâchoire que j’aurais
du laisser!
Merle Moqueur: Bah! Oui! C’est ca qu’il faut que
tu dises mon petit.
Petit Basset: … soupir… euh! oui… puis par
la suite… ce fut les grands voyages… Là ce
fut bien… au Sud… on les a toutes eues comme
10 oiseaux sur le fil electrique qu’on enfile
comme des aiguilles du montre qui tourne plus
vite que la terre.
Merle Moqueur: Et puis, heureusement que pour
les voisins d’ici… nous sommes passés tout droit…
silence on tourne… Fallait bien se garder un
asile avant de tous se les aliéner!
…. à suivre!!!
mois, un fichu d’auteur, illustre inconnu… tiens, c’est
un peu con… illustre et inconnu… a eu l’intuition
que s’il apprenait à écrire, il pourrait s’amuser un
peu et en emmerder plusieurs… beaucoup!
on n’en veut plus du Bi-lan… du Dépôt de Bil-an.
La Redition de contes… contines… continence…
Incontinence et Incontournable.
quand le bateau coule? Si ce n’est pour l’autre,
faisons le pour les autres.
L’auteur: Non! Non! Cà ce n’est pas dans le con-trat.
Je m’y refuse… systématiquement… d’une manière
systémique…
la Maison d’Edition, l’Edit-heure INSISTE!
aussi! Quand même… j’ai de l’OR-gueil moi.
chèque… l’Or-dur. Ce n’est pas pour te ridiculiser
mais simplement pour, comment dire… Ben! Tu vois,
Petit Basset et Moi, avons pas envie de finir aux
oubliettes comme de vieilles poupées remplies
d’aiguilles, parce que, toi, dans ce cas-là tu finira
bien loin de notre mangeoire… à l’ombre pour
longtemps… il paraît qu’on aime pas toujours çà!
me disait comme cà… l’autre matin… cela m’ennuie
un peu, mon petit merle, qu’on ne se retrouve pas
plus souvent comme avant… pour jaser… pour
la course au bout de la laisse, toi du bout de
l’aile, le vol d’un trait d’aile… avec le tiret
de l’auteur… Cela ne te manque pas… Et puis,
aujourd’hui… les muses sont dopées, alors il
faut bien qu’on leur botte le derrière…
Grande Nostalgie… le Grand Coup de Gueule…
Cela me manque moi de dire des Choses…
de dire les Choses…
on ne vit pas que de graines et d’autres choses!
lignes…(stériles).
va commencer bientôt? Le Clip, le Clap! T’as mis
tes lunettes de soleil… couché devant la niche,
ou nietzche…
Comme le Métro-Nome… L’assurance du Pro! de la
Vedette… Ouais! Woof! Woof! Woof!
refaire le film à l’envers… pour remettre le monde
à l’endroit…
pattes en l’air… un Ouuuuuuuuuuuu!
sérial… killer. Tu sais la 1ère Présidentielle.
Tu vois, moi, je crois qu’on devrait la recommencer.
C’est du gâchis. De la pâté de merdre pour les
loosers… Et ils en redemandent…
écoutant, songeur d’une nuit d’été, regardant
Merle Moqueur… ses lunettes fumées par terre…
pendant que la fumée enveloppe la République.
cette saison… une petite raison de rien du tout…
Merle Moqueur… si tu penses comme moi, tu dois
te demander ce qui serait arriver… si…
les textes… le testament de l’auteur, l’ancien,
T’aurais jamais du lâcher le mollet, le bord du
pantalon…
référence… depuis… la Révérence est devenue
Obligatoire quand les Obligations voltigent comme
feuilles mortes en automne. J’aurais du y mettre
du coeur au ventre… parce que là cela ne fait
pas dans le bon exemple… Ce n’est pas la griffe
mais l’empreinte de la mâchoire que j’aurais
du laisser!
tu dises mon petit.
la suite… ce fut les grands voyages… Là ce
fut bien… au Sud… on les a toutes eues comme
10 oiseaux sur le fil electrique qu’on enfile
comme des aiguilles du montre qui tourne plus
vite que la terre.
les voisins d’ici… nous sommes passés tout droit…
silence on tourne… Fallait bien se garder un
asile avant de tous se les aliéner!
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Ah! Comme la Neige a neigé…
Alors que Petit Basset et Merle Moqueur descendait
la ruelle à la fin du jour…
Petit Basset: Faudrait trouver quelque chose
pour l’Auteur… il paraît que l’Editeur hésite
avant de faire le virement pour son dernier texte…
Merle Moqueur: Ah! Qu’est-ce qu’ils ont tous ces
satanés capitalistes… ils veulent toujours qu’on
paient pour tout, mais quand c’est le temps de
verser un peso, un euro, un dollard, un sou, ils
rechignent toujours, à croire qu’ils sont tous
des Avares…
Il commençait à faire un peu plus froid… et
à l’approche de la Niche et de la Cabane au milieu
de l’arbre dans la cour, Merle Moqueur dit…
Merle Moqueur: On va être bien à l’abri…
Petit Basset: Ah! Oui… la Niche… on n’en
sortira pas avant l’arrivée du journal demain
matin…
A ce moment la neige commença à tomber… quelques
brins de neige… lentement… comme si elle ne
voulait pas déranger, comme si elle voulait passer
incognito… Sous la lumière du lampadaire, c’était
joli… comme des lucioles, des grains de poussiere,
des morceaux d’étoiles… puis… la neige se mit
à tomber plein ciel… lentement… quelques coups
de brise qui faisait virevolter les flocons sous
les reflets de la lumière.
Merle Moqueur: Ah! Je ne peux manquer cela, c’est
ma première neige. Il se lança toutes les ailes
dehors… suivant les courants d’air, montant,
descendant, piquant du nez… se mêlant aux flocons
comme dans un bal, sous les yeux ébahis de Petit
Basset qui se mit à courir un peu autour du lampadaire,
comme pour se joindre à la danse de la Nuit.
C’était magnifique… un tourbillon de neige sur
lequel flottait presque Merle Moqueur, tandis
que Petit Basset, japant, en courant… en se
mettant debout sur ses pattes arrière…
puis, et cette course folle dura… sous la lune
embrouillée par la neige… Merle Moqueur parfois
ouvrait la bouche pour avaler quelques flocons
au passage et se désaltérer…
Rêves d’une soirée d’hiver…
Puis, las de tant de circonvolutions, de révolutions,
Merle Moqueur rentra, essouflé dans sa cabane
toute recouverte de neige, déjà… suivi par Petit
Basset qui allai s’écraser dans la niche et retourner
à son gros os de jambon…
Midnight Express.
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